L’amitié et les réseaux sociaux

Voilà longtemps que je n’avais pas pris la peine de venir écrire sur ce blog. Non pas que l’envie m’en manquait, mais le temps plutôt, jouait contre moi. Depuis longtemps donc, j’ai prévu d’écrire cet article. L’amitié et les réseaux sociaux, est-ce possible ? Où cela nous mène-t-il ? Est-on vraiment soi-même lorsque l’on se trouve derrière un écran ?

Je commencerai déjà par répondre à cette dernière question, parce qu’elle est pour moi fondamentale et elle est la base de mes réflexions sur le sujet.

Est-on vraiment soi-même lorsque l’on se trouve derrière un écran ? Oui et non. Et tout dépend de la personne. Qu’est-ce que c’est « être soi-même » déjà ? Parce que dans la vie, il y a des moments où on ne le sera pas forcément tout le temps… Tout est une question de personnalité, de style de vie, d’enfance ; en gros, tout dépend de la personne.

Et oui ! Nous sommes tous différents, et que l’on soit extraverti ou introverti, selon les situations de la vie quotidienne ainsi que des personnes que nous fréquentons, nous ne serons pas le même. Que ce soit au quotidien, au travail ou avec nos meilleurs amis, nous ne pouvons jamais être égal, puisque l’environnement et les gens qui nous entourent influent sur nous, que ce soit de manière positive ou négative, il y aura toujours une influence extérieure sur nous-même à un moment T.

Du coup, moi, qui suis-je ? Edwige, 26 ans, infirmière scolaire vivant à Lille. Cette petite description est la base de ce que je suis, mais n’est absolument pas caractéristique de ma personnalité. Physiquement déjà, je suis différente que je travaille, que je glande à la maison  ou que je sois avec ma famille et mes amis. Mentalement, c’est exactement la même chose.

Mais alors, derrière mon écran, comment suis-je ? Je crois que je suis surtout la personne que je souhaite refléter auprès des gens. J’essaye de me parfaire, je poste des photos où je suis à mon avantage, plutôt « jolie » (dans le sens où je ne poste pas les photos où je suis moche, mais je ne dis en aucun cas que je suis jolie) et s’il vous plaît avec mes lentilles. J’essaye de paraître cool comme je souhaite l’être et comme je ne suis pas forcément capable de l’être dans la vraie vie. Cependant, je pense que je suis authentique. Je dis que je le pense, parce que je n’en suis pas certaine… Enfin… qui peut dire que je le suis ? Mis à part les gens qui me connaissent vraiment ? Mon point de vue sera forcément biaisé parce que l’enjeu ici, c’est moi, mais j’essaye quand même de rester objective.

Et du coup, l’amitié que je crée au fil de mes rencontres sur les réseaux sociaux est-elle réelle ? Pour moi, oui. Les réseaux sociaux et internet de manière générale, ont permis de m’améliorer, de grandir et de ce fait de rencontrer des gens vraiment géniaux. Certains que j’ai déjà vu en vrai, d’autres non, mais je suis en amitié aussi vraie derrière mon écran que dans la réalité. Et lorsque je me crée une vraie complicité via le net, elle este d’autant plus réelle en vrai.

J’ai la chance d’avoir trouvé -par exemple- mon meilleur ami sur un forum RPG HP. Nous habitions à 88km l’un de l’autre, mais la frontière nous séparait. Nous avons mis 8 ans avant de nous rencontrer en vrai pour la première fois. 8 ans à discuter, chacun assis derrière nos écrans, sans jamais nous voir, sauf par webcam interposées. Maintenant, cela fait 15 ans que c’est mon meilleur ami, et cette amitié est indéfectible, malgré mon caractère de cochon et les épreuves qu’on a vécu.

Mes meilleurs amis, je les compte sur les doigts de la main. Mes meilleurs amis, je les ai presque tous rencontrés sur internet. De mes amis d’enfance et d’adolescence, avec qui j’allais à l’école ou qui habitaient non loin de chez moi, il ne me reste personne. Peut-être ne suis-je douée que pour les relations amicales longues distances ? Cette proximité d’internet nous permet d’avoir toujours les êtres chers auprès de nous, quelque soit la distance qui nous sépare.

Alors pour moi, les réseaux sociaux et internet de manière générale sont fondateurs de beaucoup et de belles amitiés, et je pense particulièrement à certains de mes amis rencontrés par ici, et qui, j’en suis certaine, sauront se reconnaître.

Le mal-être et le seul maître de ta vie. (Spoiler alerte : toi)

Tout comme mon dernier article sur Le culte de la minceur et ses déviances, l’article d’aujourd’hui n’est écrit qu’à partir de ma propre expérience et de mon travail d’infirmière scolaire. Je n’ai pas la science infuse, et cet article n’est fait qu’à titre personnel, je ne suis pas médecin et je ne me prendrai jamais pour tel.

 

Depuis quelques-temps, je me suis rendu compte que ce soit au boulot ou dans ma vie personnelle que de nombreuses personnes de mon entourage proche ou non, direct ou indirect, ne sont pas bien et sont en mal-être. Il est vrai que la période n’est pas adéquate au bonheur et à la joie de vivre. L’hiver, le froid et le manque de luminosité nous mettent déjà un coup au moral. Il suffit qu’un voire plusieurs élément(s) vienne s’ajouter à ce cocktail pour que cela devienne explosif.

On a alors une majorité de gens triste ou en colère, qui n’est plus foutu de voir le verre à moitié plein et qui du coup, ne fait que de s’en plaindre. Nous avons tous des moments dans notre vie où nous sommes plus fatigués, plus sensibles, et où ça n’ira pas forcément. Notre force sera de parvenir à passer outre tout ces éléments, de continuer de vivre sans que jamais personne ne s’en rende compte. Sauf que la tendance générale est plutôt de ne plus avoir de force et de se laisser aller. Aller mal, s’en plaindre et s’en complaire. Ne rien faire pour que ça aille mieux, et au contraire s’y enfoncer toujours un peu plus. Et là, ça devient problématique parce que ça devient pathologique.

Le pathologique, c’est lorsque ça devient maladif. Pathos vient du grec et signifie « souffrance ». Rien de tel donc que ce mot pour définir lorsque le mal-être est devenu trop profond et où la personne ne parvient pas ou plus à s’en sortir.

Pourtant, qu’est-ce qui va pousser une personne saine d’esprit à aller tellement mal à un moment de sa vie qu’elle ne sera plus capable de se maintenir la tête hors de l’eau ? Et qu’est-ce qui va à l’inverse permettre à quelqu’un d’apparence lambda de ne pas craquer sous le poids de la pression ?

 

La résilience.

 

La résilience c’est la faculté qu’ont les gens à rebondir face à une situation difficile, d’absorber cette situation afin d’en générer une expérience positive à partir du négatif, et de s’en resservir par la suite pour rebondir. C’est une définition évidemment light que je vous en donne, mais dans l’idée, on y est.

Mais alors, qu’est-ce qui va permettre à chacun d’être résilient et de se créer une certaine résilience ? Tout va dépendre de la personne. Quelques fois, il faudra un coup de pouce extérieur, un ami en soutien, une thérapie pour apprendre, ou juste des événements difficiles et traumatiques lors de la construction de l’enfant et de l’adolescent. Attention cependant à ce dernier point qui peut être quitte ou double. Une enfance difficile pourra engendrer des adultes très résilients qui passeront toujours outre les épreuves sans la moindre difficulté, mais l’inverse est également vraie. Une enfance difficile aura pour la plus grande part du temps engendré des adultes dont la construction s’est faite de manière pathologique et donc avec des problèmes plus ou moins graves et des failles pouvant laisser entrer une maladie mentale. Par exemple, si je prend mon propre cas, j’ai une certaine résilience, mais qui a ses limites. Ma construction est inégale et si je devais développer une maladie, ce serait très probablement la bipolarité, puisque mon comportement s’y rattache très fortement. Mais là n’est pas la question, et je m’en éloigne.

Oui mais voilà, dans l’idée donc il y a des gens qui sont plus enclins à s’en sortir et d’autres qui auraient tendance à se laisser aller très facilement et à baisser les bras. Ne peut-on pas essayer, chacun à sa manière de s’en sortir par de petites choses simples et efficaces ?

Porter de la couleur. Sourire, même quand on est fatigué. Profiter du moindre rayon de soleil. Ecouter le chant des oiseaux. Jouer avec son chat. Discuter avec ses amis. Appeler les gens qu’on aime et leur dire. Sortir prendre l’air. Aller faire un tour dans les magasins même si on n’a pas l’intention d’acheter. Prendre des nouvelles des autres, mais ne pas se plaindre quand on le fait. Voir le verre à moitié plein, même lorsqu’il est à moitié vide. Se dire que dans la vie il y a toujours pire que nous. Profiter de chaque instant. Faire des projets. Rêver. Prendre du temps pour soi. Lire, écrire, bloguer, écouter de la musique. Aller faire un tour dans les musées. Ne pas se fâcher pour des conneries. Discuter calmement. Arrondir les angles. Et si on n’est pas heureux de sa vie : tout faire pour la changer !

Il est facile de se plaindre, et beaucoup plus difficile d’avancer, mais un jour, il faut oser, pour soi, pour les autres. Mais voilà, quand tu ne vas pas bien, ce n’est pas les autres qui vont arranger les choses pour toi. Il n’y a que toi seul qui a les capacités pour faire bouger les choses, les faire avancer, les arranger ! Tu es le maître de ta vie, et si tu ne comprends pas cela, personne ne pourra le faire pour toi. Comme je le dis si souvent à mes élèves, je n’ai pas de baguette magique qui me permette d’effacer tout les problèmes et tout les soucis, même si j’aimerai beaucoup. En tant qu’infirmière, et en tant que personne je veux bien être présente. Je veux bien essayer d’amener des solutions, de faire des compromis, d’être une épaule pour pleurer, une oreille attentive et compréhensive, une aide et des conseils. Mais pour cela, il faut avant tout que tu te remettes en question et que tu ais envie de t’en sortir, et non simplement de te plaindre. C’est trop facile de se reposer sur les autres et d’espérer des solutions toutes prêtes. Chaque personne est différente, et chaque personne aura besoin d’une aide particulière, mais pour cela il faut vouloir s’en sortir. Sans ça, aucune aide n’est bénéfique.

Au final, si tu veux vraiment t’en sortir, il faut que cela vienne de toi et non des autres. Alors relèves la tête, vas chercher l’aide nécessaire quand tu es prêt à la demander, arrêtes de te plaindre et bouges toi pour que les choses changent, parce qu’il n’y aura que toi pour les faire changer !

 

Nb : Désolée pour le changement de style et d’écriture en plein milieu de l’article, mais il fallait que ce soit écrit ainsi pour que la fin soit plus percutante et plus compréhensive, un peu comme lorsque je m’adresse à mes élèves. 😉

Tout pour maigrir, ou le culte de la minceur et ses déviances.

Je n’ai pas la prétention d’avoir la science infuse et de tout savoir. Cet article n’est basé que sur mon ressenti, ma (petite) expérience d’infirmière et du coup du milieu médical de manière générale et je ne parle que pour moi. Je ne fais pas d’amalgames, ni de « racisme » envers les personnes en surpoids. je tiens à le préciser, car je sais que cet article pourrait faire « polémique » et il pourrait être mal interprété. D’où cet avertissement.

Je n’ai jamais été bien grosse, et j’ai pour ainsi dire toujours été mince, voir maigre. Cela m’a souvent posé problème au cours de ma scolarité d’ailleurs, puisqu’on se moquait de moi, mais là n’est pas la question. J’ai la chance d’avoir une bonne morphologie, aidée par une génétique avantageuse. J’ai toujours été grande et je ne prends pas facilement de poids. Bien sur, avec l’âge j’ai commencé par prendre un peu de culotte de cheval comme toutes les femmes. C’est donc récemment que j’ai décidé de me mettre au sport afin de rester en forme. Il faut dire que je n’ai jamais aimé le sport, mais je sais qu’il n’y a rien de tel qu’une bonne hygiène de vie -alimentation saine et variée, un peu d’activité physique et du sommeil en quantité et qualité suffisante- pour être en forme et surtout en bonne santé.

Mais qu’en est-il de cette course à la minceur que nous dicte la société actuelle ? Je ne reviendrai pas sur le culte de la minceur que nous rabâchent sans cesse la presse et la société de manière globale. Mais je parlerai plutôt des effets que cela implique et de toutes les déviances qui apparaissent à cause de cela.

J’ai décidé de vous parler des by-pass et autre sleeve. Quézako ?

Le bypass est une intervention de chirurgie gastrique consistant à dévier les aliments qui ne passent plus par l’estomac et qui vont directement jusqu’à l’intestin grêle. Le sleeve est quand à lui est une coupe d’une partie de l’estomac qui va être retirée pour ne laisser qu’une infirme partie en forme de tube.

Ces deux opérations ont le même but, celui de la perte de poids. Autant dire que c’est normalement quelque chose que l’on fait en dernier recours. Oui mais. Si j’ai décidé de vous en parler, c’est justement parce que j’ai pu me rendre compte des déviances que cela pouvait entraîner. La soeur de chéri a un groupe de copines, et c’est ce groupe qui m’a donné envie d’écrire un article là dessus. Sur ce groupe, un garçon, et pas moins de 3 filles ont eu recours à l’une de ces opérations dernièrement. Pour les deux premiers, cela vient d’une obésité morbide qui vient de l’enfance et entraîné par la génétique. Or, pour les deux autres, c’est plutôt cette mode de la minceur et la mode entraînée par l’effet de groupe leur a permis de se faire opérer afin de perdre du poids.

« Oui mais si elle se sent mieux dans son corps maintenant ! » m’a-t-on dit, et va-t-on me dire. Le problème ne vient pas du fait de se faire opérer. Le problème vient du faire de la manière dont cela est effectué. Normalement (et je sais que c’est le cas sur Lille) ces opérations ne sont effectués qu’en dernier recours, quand un « régime » effectué par suivi médical n’a pas fonctionné, que l’IMC de la personne est en obésité morbide (à 40, c’est-à-dire qu’il devient dangereux pour la santé de la personne) ou qu’elle est atteinte de maladie(s) de type diabète ou de problèmes cardiovasculaires par exemple. Quand c’est fait dans les règles, cela ne me pose aucun problème, bien au contraire.

En revanche, quand on te dit clairement et sans problème qu’on ne fait pas de sport, qu’on ne mange pas correctement (snacks (mcdo) au moins 2 fois par semaine !!) et qu’on boit (de l’alcool) comme un trou chaque week-end (vendredi-samedi minimum) et que du coup, l’opération c’est génial parce qu’on a perdu du poids sans rien faire… Là, je suis désolée mais ça me pose problème. Il ne faut pas oublier qu’effectivement c’est cool, mais qu’à côté de ça il faut avoir une hygiène de vie irréprochable si on ne veut pas avoir d’effets secondaires suite à l’opération, que c’est quelque chose qui n’est pas sans conséquence. se faire enlever un morceau de l’estomac, ou modifier le trajet des aliments n’est pas quelque chose de normal. Ce n’est pas sans effet sur tout le reste du corps et il ne faut pas l’oublier.

Alors que des filles, se fassent opérer (ce qui est assez barbare que ce soit d’une manière générale ou juste pour le corps en question) alors qu’elles n’ont pas fait d’effort pour essayer de perdre du poids avant, et qu’elles ne font pas d’effort après pour ne pas avoir d’autres problèmes par la suite, je trouve ça complètement idiot et con.

Le comble ? C’est quand l’une d’entre elle te dit qu’elle a pris 6kg avant de se faire opérer exprès pour avoir le bon IMC (à 40 je le rappelle) pour pouvoir se faire opérer… Tout va bien.

Alors voilà, personnellement je suis pour les traitements médicamenteux et chirurgicaux quand cela a un sens, mais pas par pure paresse ! Je ne sais pas si c’est ma formation professionnelle, mais ce genre de comportements me fait sortir de mes gonds et me glace d’effroi.

TFGA n°15 : Les jeux de votre 2015

Je me tâtais depuis un moment à me lancer dans les TFGA, et après y avoir été poussée par mes comparses gamers de twitter, c’est aujourd’hui que je me lance dans mon tout premier TFGA ! (Alors soyez cools avec moi, je suis une fausse gameuse pas assumée)

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Celui-ci a été instauré par Alexandre, et pour ceux qui n’en connaissent pas encore le principe (même si je pense que tout le monde connaît) il s’agit d’un top 5 concernant les jeux vidéos dont le thème change chaque mois.

 

N°5 : Assassin Creed, Black Flag

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Je n’avais jusqu’à présent jamais eu l’occasion de tester un seul AC et c’est grâce à une remise sur le live xbox qu’on s’est décidés à s’en prendre un avec Chéri. Au départ, il était pour lui et finalement il n’a pas eu le temps de s’y mettre. En revanche, je me suis fait grave plaisir. J’ai été étonnée de l’aisance avec laquelle j’ai réussi à jouer, n’étant pas (plus) forcément habituée à ce genre de modes de jeux. Je ne l’ai pas encore terminé faute de temps, mais j’ai été assez conquise et j’espère pouvoir parvenir à prendre le temps de m’y replonger. Peut-être même que j’en testerai un autre à l’occasion, vu que l’histoire est plutôt bien pensée, les graph’ sont tops et j’adore l’univers de la piraterie alors là franchement je kiffe.

N° 4 : Disney Magical World

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Rien à voir du tout avec le jeu précédent, puisque celui-ci se passe dans le monde enchanté de Disney, et se joue sur 3DS. C’était mon jeu relax de l’année, celui qui ne me fait pas stresser (parce que je m’énerve un peu trop vite quand je perds ou que je ne parviens pas à faire ce que je souhaite) et qui me renvoie en enfance. Le but étant de se balader dans le parc du château, d’aller se taper la discut’ avec les personnages de disney et les autres pour remplir des quêtes, débloquer de nouveaux personnages, s’occuper de son café, bref, j’ai 4 ans et je le vis bien, merci.

N°3 : Just Dance (tous)

Just Dance

Just dance c’est quand même un de mes jeux fétiche ! Je crois que je les ai tous (ou presque) et pour preuve on m’a offert le tout dernier pour Noël. j’ai commencé à y jouer sur la Wii, mais jouer avec la wiimote m’emmerdant fortement (j’ai la fâcheuse tendance à la lâcher), j’ai décidé de passer sur le xbox one. Avec la kinect, tout est pris en compte et même mes jambes non coordonnées sont dans la boite (alors que bon sur la wii, si tu bouges que les bras tu fais un score plus élevé que moi qui bouge tout quoi) Bref, j’ai passé mon année à y jouer, l’utilisant pour m’obliger à faire du « sport » et pour m’apprendre à être un peu moins gauche et idiote quand je bouge. (Piquet un jour, piquet toujours) et je pense que celui-là risque de m’accompagner encore de nombreuses années !

N°2 : Mario Kart (8)

mario kart

Mario kart, c’est un peu LE jeu auquel tout le monde a au moins joué une fois dans sa vie. Il n’y a pas longtemps on a craqué pour le pack avec la Wii U (merci à mon frère qui nous a donné envie) et depuis on passe quand même pas mal de temps dessus. A deux, à 4 en soirée, à 4 en live avec les doudous, à moi toute seule. Autant dire que j’suis quand même super nulle (comme pour tout les jeux xD) et finir 1ere est un miracle MAIS j’adore la maniabilité, les personnages, les DLC (Link et sa moto sont mes meilleurs alliés), le fait de balancer des bananes sur les autres… Pour la petite histoire, chéri aime bien balancer des peaux de bananes sur la voiture de nos amis pendant qu’on roule juste pour le clin d’oeil… (Oui on est un couple de psychopathes).

N° 1 : Halo (Tous mais principalement le 3 et le 4) (J’ai pas encore le 5)

halo

Et oui ! Qui aurait cru qu’Halo était mon jeu de 2015 ? (Et qui aurait cru que j’y jouais et que j’étais badass en plus ? personne, on est d’accord !) Halo j’ai commencé par jouer au 3e avec chéri en coop et depuis j’en suis amoureuse. On se les ai tous refait (sauf le 2 auquel on est toujours pas arrivé au bout parce qu’il est merdique, que la maniabilité est daubesque, que la coop est super mal pensée, que le jeu bug tout le temps cet enc***, bref parce que ça me les casse de me battre avec xD) et je suis ultra fan de chez fan. Par contre je n’y joue presque jamais seule, c’est un peu notre jeu chouchou à deux. C’était aussi le jeu qu’on se faisait toujours à 3 avec Max, lui et moi contre chéri en soirée (on a réussi à le battre une unique fois). Je n’y ai pas rejoué depuis qu’il nous a quitté, mais je crois que rien que pour ça, Halo restera pour moi un de nos jeux mythique. Bon. J’avoue, la vraie raison aussi c’est que d’adore défoncer du Covenant et du Parasite (dégueulasse) et les petites phrases des 1ers « REGARDEZ ! IL S’EST CACHE ! » me font mourir de,rire à chaque fois. Et puis qui n’aimerait pas visiter les étendues grave cools de l’halo en défonçant tout sur son passage ?

 

Voilà pour moi et ce premier TFGA auquel je participe. J’espère que t’as fait plaisir de me lire et d’en apprendre un peu plus sur le genre de gameuse que je suis. (Totalement éclectique, on en conviendra)

See you soon !

Mes « Résolutions » de 2016

A l’aube de cette nouvelle année, je ne ferai pas de bilan de l’année 2015 puisqu’il s’agit pour moi de l’une des pires années de ma vie (et pourtant tu peux me croire, j’en ai eu des années de merde).

Alors aujourd’hui, j’ai plutôt envie de me tourner vers l’avenir. Je suis pleine d’espoir à l’idée que 2016 sera une bonne année.

new year

Ce n’est pas vraiment des résolutions que j’ai envie de prendre, parce que je sais que le simple fait de les énoncer me fera très rapidement renoncer à l’idée de m’y tenir. Mais, c’est plutôt des projets que j’ai et qui j’espère arriveront à se concrétiser rapidement.

  • Me relancer dans les préparatifs du mariage. Voilà plus de 6 mois que nous l’avons mis de côté lorsque nous avons décidé de le repousser d’une année. Nous sommes donc à 1 an et 5 mois de nous marier et il est grand temps de nous y remettre. ❤ Mais avant tout, il faut mettre de l’argent de côté ! Ce qui nous amène au 2e point.
  • Passer le concours d’infirmière scolaire. L’an dernier je ne m’en sentais pas capable, je n’étais pas prête. Je pars négative en me disant que je vais me foirer cette année, mais au moins ça me fera une bonne préparation. Et puis, qui ne rêverait pas d’être titulaire et d’avoir un poste bien défini ? les remplacements ça va bien 5 minutes, mais à force, c’est usant… Alors, si j’essayais quand même de croire en moi et de l’avoir ?
  • Reprendre les choses en main par ici et me remettre à écrire de manière un peu plus assidue ! Ce blog m’a longtemps manqué, et j’avais énormément envie d’y passer ces derniers temps, mais avec le déménagement, je n’avais absolument pas le temps…
  • Ne plus déménager ! 3 appartements en 3 ans, on va peut-être se calmer et rester ici jusqu’à ce que nous puissions enfin acheter une maison à nous ❤ Il est plutôt pas mal et j’avoue ne rien avoir réussi à redire dessus (sauf les petits travaux à la con mais pas de problème majeur) et je m’y sens bien, donc, on ne bouge plus !
  • Râler moins. Je suis une râleuse finie et je ne suis jamais contente de rien. Il faut que j’apprenne à lâcher prise et ne plus râler pour tout et n’importe quoi.
  • Stresser moins. J’ai appris dernièrement que le sport me permettait beaucoup de déstresser, mais maintenant il va vraiment falloir que je m’y remettre correctement parce que ça fait bien plus d’un mois que je n’ai pas mis les pieds à la salle… Mais lâcher prise encore une fois serait cool. Je dois apprendre que je ne peux pas avoir le contrôle sur tout, et que quelque fois je ne peux rien y faire, alors m’angoisser ne sert à rien.
  • Profiter plus de mes proches, des gens que j’aime et leur dire plus souvent que je les aime et qu’ils sont formidables de parvenir à me supporter et à m’aimer comme ils savent si bien le faire. Parce qu’il faut le dire, j’ai l’air cool derrière mon pc, mais en réalité, je suis un vrai dragon…
  • Pour conclure, je dirai qu’il faut que je continue de regarder toujours plus de séries, de lire beaucoup, d’être curieuse et de m’intéresser à tout, de demander quand je ne sais pas, d’aider les autres, de jouer plus à la console, et de garder cette part d’enfant que j’ai toujours en moi, même alors que je m’apprête à avoir 26 ans. (Putain ça y-est, j’ai presque dépassé le quart de siècle, je suis vieille.) Et bien entendu, que je continue de sourire et de rire de tout et de rien. Toujours.

Et toi, tu as des résolutions ou des projets pour l’an prochain ?

En attendant tout cela, je te souhaite un bon réveillon pour demain, mais pas une bonne année parce que ça porte malheur de le souhaiter en avance.

 

Inspiration de Noël

Le temps passe vite et Noël approche à grands pas. C’est pourquoi j’ai décidé de m’y mettre tout doucement avec le blog. Je vous propose donc quelques inspirations que vous pourrez retrouver sur mon pinterest.

sapin 1

Un sapin lumineux et blanc près d’une cheminée et d’un feu de bois.

plateau

Quelques guirlandes et quelques boules dans un plateau pour égayer une table ou un meuble.

alternative sapin

Une alternative au sapin traditionnel.

centre table

Un centre de table blanc et doré pour le côté chic.

Voilà, j’espère que cet article t’aura mis un peu de baume au coeur dans ce monde de fou qui est le nôtre dernièrement. Essayons de retrouver le sourire, de se remettre à vivre même si c’est plus facile à dire qu’à faire, et profitons de la vie tant que nous le pouvons.

Lettre ouverte à mon ami parti trop tôt

Tu avais 23 ans. Tu étais beau comme un dieu grec, et tu avais la vie devant toi. Tout le monde t’aimait, et nous les premiers. Tu aimais la vie, et même si on te connaissait un problème cardiaque, ce n’était pas ce qui t’arrêtait. Au contraire. Tu croquais la vie à pleine dents, tu étais tout le temps souriant, heureux, et plein de malice. Tu étais notre joyeux luron. Toujours prêt à faire la fête, ou à venir passer une soirée pour jouer à la console.

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Aujourd’hui, je te pleure. Aujourd’hui mon coeur saigne de te savoir parti. Mais je ne veux pas être triste, je sais que tu aimerais que je sois heureuse, que je m’amuse en ton honneur. On se dit depuis samedi que si tu nous regardes, tu dois bien rire de nous voir ainsi te pleurer.

« Sale histoire. »

Aujourd’hui, je sais que je ne te verrai plus. Que nous ne pourrons plus jouer en 2 vs 1 à Halo pour battre chéri, et parier des trucs débiles. (comme le fait que c’est toi qui dort avec moi, pour qu’au final on dorme à 3 et que je me retrouve à te pousser parce que tu prends toute la place et tu m’écrases de tout ton long, ou que je te bouche le nez parce que tu ronfles) Qui m’épousera après qu’on ait tué chéri une fois qu’il sera devenu riche à millions pour hériter ? (Alors que je sais que tu finiras par me tuer aussi pour hériter tout seul) Qui nous insultera de rincés parce qu’on est fatigués ? Qui nous fera rire, tout simplement ? 

Paul Walker a dit « Si un jour la vitesse me tue, ne pleurs pas car je souriais. » Si tu ne l’as jamais dit, on sait que cette phrase aurait pu venir de toi. Tu aimais la vitesse, et tout simplement la conduite,  alors j’essaye de me dire que tu es parti heureux.

Tu étais une étoile, pleine de joie, de lumière et d’amour, et aujourd’hui tu veilles sur nous de là-haut. Tu es parti trop tôt, et je peux dire que tu vas me manquer. Tu vas nous manquer. Cette lettre vient du fond de mon coeur, mais je crois pouvoir dire qu’elle vient aussi de celle de nos amis, de tes amis qui t’aiment autant que je t’aime et qui te pleurent avec moi.

Je pense à ta mère qui doit être dévastée et à tes frères et ton beau-père que nous connaissons bien. Je pense à ton père aussi que je n’ai que rarement rencontré. Je pense à toutes ces personnes en qui tu as laissé un trou béant qui ne sera jamais comblé. Et égoïstement je pense à moi et à nos amis qui te pleurent.

Saches que je te pleurerai toute ma vie, et que tu me manqueras. Tu auras toujours ta place dans ma vie, dans mon coeur et jamais je ne t’oublierai. J’honorerai toujours ta mémoire avec les autres. Mais saches, Maxence, que je t’aime.

Et si j’ai une chose de plus à dire, c’est ce que toi, tu aurais dit. « A plus dans l’bus, à plus tard dans l’autocar. Et si on ‘svoit plus, on met des lunettes. »

Ash vs Evil Dead

  
Étant une fan de l’horreur, je ne pouvais pas passer à côté de cette série. Alors que je n’avais pas vraiment les films en tête (datant des années 80 tout de même !) parce que je les ai vus il y a déjà quelques années, j’ai décidé de m’y lancer sans vraiment savoir à quoi m’attendre. 

C’est vrai que ces derniers temps, les séries d’horreur font rage, entre The Walking Dead et son spin off (que j’ai trouvé relativement mauvais par rapport à son grand frère) ou encore American Horror Story ou Scream, (et Scream Queens) c’est un peu l’overdose. 

Mais voilà. Ash vs Evil Dead est totalement dans la lignée des Evil Dead parce qu’il a été créé directement par Sami Raimi, réalisateur et pour la plupart scénariste des dits films et pour le coup, de la série ! 

Le premier épisode se situe 30 ans après les films, et il s’avère que Ash est joué par Bruce Campbell, le véritable Ash, qui a forcément pris 30 ans, mais qui est plutôt resté bel homme ! 

L’action se situe alors que les Deadites sont de retour dans notre monde, après que Ash, lui-même, a commis la bourde de les appeler tandis qu’il était dans un état second. (Bourré donc) 

J’ai trouvé les effets spéciaux à la fois réalistes mais un peu viellots ; dans la veine des films. Les Deadites ont tout de même réussis à me foutre (un peu) les jetons (toute seule, le soir et dans le noir comprenez moi) et je me suis marrée toute seule comme une baleine aux blagues idiotes et souvent machistes d’Ash qui se croit irrésistible. 

Bref, j’attend de voir ce que le reste de la saison nous réserve mais j’ai vraiment aimé le pilote (et le 2e) et je ne peux que le conseiller. 

Ceci dit, tout n’est à prendre qu’au 10e degrés, et je ne pense pas que la série soit sexiste (j’entends déjà certaines féministes) parce que justement, Ash est un putain de stéréotype. 

Non au harcèlement 

Aujourd’hui se tenait la première journée nationale contre le harcèlement scolaire.

Pour moi qui suis infirmière en milieu scolaire et qui ait également été victime lorsque j’étais moi-même au lycée, il était temps.

Le harcèlement, ce n’est pas uniquement le harcèlement scolaire, c’est tout ce qui s’installe autour, toutes les manières possibles pour atteindre la victime. En effet, cela s’enclenche le plus souvent en classe ou dans l’enceinte du lycée pour la plupart du temps, mais tandis qu’il y a 30 ans, le harcelé avait le droit à un peu de répit une fois rentré à la maison, ce n’est malheureusement plus le cas avec l’ère des réseaux sociaux.


De nombreux élèves se retrouvent confrontés au harcèlement, que ce soit en position de victime, de harceleur ou de témoin. (Que ce dernier soit qu’il actif ou passif d’ailleurs) À ce titre, il arrive trop souvent que nous (adultes du corps enseignant) soyons confrontés à des élèves malheureux et mal dans leur peau parce qu’ils se font malmenés. Cependant, il faut souvent creuser longtemps avant de comprendre que ce mal-être vient d’un problème de harcèlement.

C’était, jusque aujourd’hui, quelque chose dont on ne parlait pas vraiment. C’était un sujet tabou dont peu de personnes osaient en parler et se positionner correctement face à ça. De nombreux adultes se retrouvent démunis face à ce genre de situations et ne savent pas comment réagir ou gérer la chose.

Pour moi, il est important de ne pas prendre à la légère ce genre de situation. Il faut effectivement aller rechercher le vrai du faux, ne pas forcément tout croire sur parole, mais ces actes ne doivent pas rester impunis.

Je ne parlerai pas de ce que j’ai pu vivre dans le passé, de ce que j’ai pu me prendre dans la gueule, mais je sais ce que cela fait, et je sais que ce n’est pas facile à vivre, mais que pour ma part cela m’a rendu plus forte, de par ma résilience et mon caractère qui me permettent de surmonter de nombreuses choses, mais je sais que tout le monde n’est pas capable des mêmes choses. Il y a trop d’adolescents en mal-être et trop de tentatives ou de suicides avérés À CAUSE du harcèlement.

Alors je vous le demande. Dites non au harcèlement. Si vous êtes victime, il faut en parler autour de vous, le dire et tout mettre en place afin que les choses changent. Si vous êtes harceleur, ARRETEZ de l’être. Vous avez peut être de bonnes raisons, ou peut être pas, mais ne maltraitez pas quelqu’un qui ne vous a rien fait, qui n’a rien demandé. Et si vous êtes témoins, ne laissez pas les choses telles qu’elles, parlez en autour de vous et ne laissez pas la victime seule contre les autres, que ce soit d’une manière ou d’une autre, ou tout simplement en allant la voir et lui dire que vous êtes là.

Bref, je ne fais probablement que répéter tout ce qui a déjà été dit, mais c’est un sujet qui est important à mon sens et qui ne doit pas être pris à la légère.

Supergirl, la série qui fait plaisir d’avoir enfin une héroïne !

  

Supergirl vient de débuter aux Etats-Unis, et c’est déjà l’ébullition pour moi. Même si j’avais déjà vu le pilote lors de sa fuite sur le web il y a déjà 6 mois, c’est avec plaisir que je me suis relancée dans le visionnage de ce premier épisode qui m’avait fait bonne impression.

Il faut bien avouer que ces derniers temps, les supers héros, j’en ai un peu ma claque. Entre les films, tels que les Avengers et chacun des films dédié à chaque personnage, ou encore les derniers Batman (Dark Knight que définitivement je n’aime pas) et chaque Man of Steel et Ligue des Justiciers en préparation, ou encore toutes les nombreuses séries tels que Arrow, Flash ou encore Daredevil et les Agents du SHIELD, je commence très franchement à faire une overdose. Clairement ça me casse les ovaires.

Alors voilà, quand Supergirl est apparu, j’ai eu deux réactions :

  • Oh putain, encore un super-héros.
  • Hé mais c’est ENFIN une meuf, et ils peuvent en faire quelque chose de cool.

Alors je sais, tu pourras me dire que Netflix est en train d’adapter Jessica Jones, mais, je ne sais pas pourquoi, ce sera très peu pour moi. Très franchement, je n’ai pas apprécié Daredevil et je n’ai pas terminé les 10 pauvres épisodes parce que je m’ennuyais ferme. Ensuite, les Marvel c’est ce qui me prend le plus la tête, il n’y a que ça partout, et franchement ça me saoule, j’ai pas envie. Et puis, j’aime pas la tête de l’actrice, elle ne me revient pas, donc c’est mort d’avance.

  

Et puis il y a Supergirl, incarnée par la très jolie et très fraîche Melissa Benoist connue pour son rôle dans les dernières saisons de Glee. Je l’avais déjà adoré là, mais très franchement je trouve que le rôle de Kara lui sied comme un gant. 

Les clins d’œil de ce pilote a tout ce qui est en rapport avec Superman (films et séries compris) sont sans rappeler ce qui avait été fait pour Smallville. J’ai trouvé ça mignon, mais sans tomber dans l’exagération. 

La mise en place de l’histoire et des personnages est peut-être légèrement un peu trop rapide à mon goût, mais pour une saison qui ne comportera que 13 épisodes, on peut totalement s’attendre à ce genre de parti pris. 

J’ai cependant, particulièrement apprécié la scène de recherche de costume (je ne spoile pas, on en voit une partie dans le trailer) et j’ai vraiment beaucoup rigolé. 

J’attends de voir l’entrée en scène de nouveaux personnages (comme la sœur de Lois Lane) et ceux des méchants mais j’espère que cette nouvelle série ne va pas me décevoir, parce qu’il est vrai que j’en attend beaucoup d’elle. 

Toutefois, je pense pouvoir dire que c’est une série avec une héroïne que l’on connaît pourtant (très) bien mais qui nous apparaît sous un nouveau jour, et qui, du coup, est totalement rafraîchissante. 

À tous ces messieurs sexistes, je vous demande donc de passer votre chemin, puisque Supergirl, jeune femme aussi moderne soit-elle, est à l’image de la nouvelle génération; c’est une femme forte, qui n’a pas besoin d’un homme pour être sauvée, qui travaille dur et qui a une place fondamentale dans notre société. Bref, Supergirl est ma nouvelle super héroïne préférée !